Artémed est une association fondée en 2001 en France, pour le développement des échanges artistiques, créatifs et culturels, dans les arts visuels et autres, en particulier avec les pays méditerranéens.
Artémed entend développer ses activités de la sorte :
• Rendre compte des aspects de l’art de ces régions dans le contexte actuel
• Favoriser les rencontres inter-culturelles
• Diffuser les créations des artistes de ces pays
• Elargir les publics de l’art d’aujourd’hui
« Je me permettrai de souligner une fois de plus qu'il n'existe pas une seule culture méditerranéenne – il y en a plusieurs au sein d'une Méditerranée unique. Elles sont caractérisées par des traits à la fois semblables et différents, rarement unis et jamais identiques. Leurs similitudes sont le fruit de la proximité d'une mer commune et de la rencontre, sur ses bords, de nations et de formes d'expression voisines. Leurs différences sont marquées par des faits d'origines et d'histoire, de croyances et de coutumes. N'y sont absolues ou constantes, ni les similitudes ni les différences. Ce sont tantôt les premières, tantôt les dernières qui l'emportent. Le reste est mythologie. »
Pedrag Matvejevic (préface de "La pensée méridienne" de Franco Cassano)
"Là où il y a de l'Art, il n'y a ni vieillesse, ni solitude, ni maladie et même la mort n'est plus que la moitié d'elle même."
Anton Tchekhov
 
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RESIDENCES D'ARTISTES

Liban :

France :

  • Les Néfliers - Paris 13ème arr.

> Constance Boulay. 2024

> Photos des sculptures


Caoutchoutière


Caoutchoutière


L'anneau

 


> Photos : Ateliers pour enfants à l'Institut français de Jounieh

 

> Entretien

Questions à Constance Boulay :

1- Qu'as-tu présenté à l'issue de ta résidence artistique au Macam ?

A l’issue de ma résidence artistique j’ai présenté une série de 4 sculptures et une installation photographique avec pour point commun la création de toute pièce avec ce qui a été trouvé au Liban, de l’aiguille en passant par la machine à coudre jusqu’à la photographie. Tout provient de mes rencontres au Liban. L’oeuvre qui représente le mieux le Liban est pour moi « la caoutchoutière », c’est une oeuvre semblable au Banian, dont les racines sont en dehors de la terre, cela me fait penser au peuple libanais, déraciné sur son propre territoire.

2- Qu'as-tu apprécié au Liban ?

J'ai particulièrement apprécié la liberté de m'exprimer artistiquement d'une manière inédite, ainsi que l'accueil chaleureux des autres artistes, notamment à la Zico House. De plus, j'ai été touchée par la réceptivité et l'enthousiasme du public face à l'exposition.

> Presse

https://www.lorientlejour.com/article/1426263/a-macam-une-visite-entre-serenite-synthetique-et-murmures-textiles-.html


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